Sometimes its there, it falls onto my body and touches my soul. Alors je peux le porter comme si c'était

ma peau.

Sometimes its not there, it becomes heavy to carry myself around with the wrong clothes.

Parfois il deviene practiaque, une piece de tessue qui sauve ma vie, a blanket that covers me and calms me. Quand je mabille avec des vetements propres, apres un douche

I open my senses to let the skin being affected by changes, now the skin is on mode « on » and the experience begins , I feel I feel the membrana farsi piu leggera, osmosi di informazioni tra la stoffa e pelle, struscia e passa i get cold for a second I get dressed again, the sensibility it is expanded I feel my legs cover in muscles in skin in hairs in fabric the same for my arms I am like a

living bodies

c'est du coton qui pique qui tend qui sous tend qui nous tient toustes ensemble

je suis debout avec la robe de Marie Antoinette

je suis a genoux avec Sainte Maria Magdalena

puis je suis pierre qui roule n'amasse pas mousse

un peu plus loin rivières et montagnes de peaux

polyester de ta bouche

acrylique de tes yeux

soie de ton cul

dans le contact du tissus je sens mon corps se transformer, comme lorsque j'enfile un vêtement

je prends conscience de ma propre peau, la caresse ainsi produite me révèle la texture de mes contours.

En m'abandonnant à moitié à ces vêtement qui me parle je bouge différemment, mon pas est plus lourd,

plus posé ou léger, je mute en moi même, les vêtements nous transforment. Par leur contraintes, leurs

augmentations, les rétrécissement, leur sensations, mon enveloppe se modifie et se déplie dans

l'espace.